J'ai choisi de débuter mon voyage par une pause à Miami beach, j'étais venu il y a 4 ans et j'avais vraiment adoré, je suis retourné au Tropic Hotel dans la partie " Auberge de jeunesse". Rien n'avait changé!
Très vite je pars en direction du Strip, l'avenue branchée, bondée de beautifull people, ce soir, l'effervescence est à son comble, les écrans géants des bars et restos transmettre un match de Football Américain. Excitation palpable sur les nombreuses terrasses de l'avenue.
La presqu'île de Miami beach est une ville de loisir, certainement la plus cosmopolite de toutes les USA, très orientée Latino avec un bon nombres d'exilés Cubain.
Le lendemain, après une longue balade au bord de l'eau jusqu'à Biscayne bay je retrouve mon bus n°150 en direction de Mia Airport, afin de poursuivre ma route vers l'archipel des Caymans.
Je retrouve Stefano du côté de West bay avec son coloc Fabio, une belle résidence avec piscine , je rencontre les amis des amis , je deviens presque local sur cette île bien familière pour moi .La presqu'île de Miami beach est une ville de loisir, certainement la plus cosmopolite de toutes les USA, très orientée Latino avec un bon nombres d'exilés Cubain.
Le lendemain, après une longue balade au bord de l'eau jusqu'à Biscayne bay je retrouve mon bus n°150 en direction de Mia Airport, afin de poursuivre ma route vers l'archipel des Caymans.
Capitale du paradis fiscale avec son grand port d'escale pour les nombreux paquebots qui viennent chaques jours débarquer une foule de touristes, affluence Ricaine de rigueur ! ici, dollars rythment la vie, des dollars il en faut beaucoup pour bien vivre sur cette île !
L'archipel émerge d'une chaîne de montagnes sous-marines entourée des eaux très profondes des caraïbes occidentales . D'une configuration très plate avec une végétation semi-tropicale, ici, c'est loisirs, plages, lieux branchés, plongée et farniente sur la mythique seven mille beach.
The life passes quietly in a little piece of heaven.
Il y a des territoires sur la terre qui méritent plus qu'un détour, des petits coins de paradis dans une richesse naturelle remarquable.
Un lagon bleu, translucide, azur, un sable blanc lumineux et des petits filaos sur la plage afin d'obtenir du vert. Faut le voir pour le croire, tellement c'est beau, ce petit bout de Grand Cayman , cette presqu'île loin de la cohue touristique de George Town ou de Seven mille beach .
Un coin idéal pour passer une journée, pique-niquer entre la végétation, drinker sur le banc de sable où l'eau est peu profonde.
Journée cool, jusqu'au spectacle du sun set .... J'étais tombé amoureux de Rum point il y a 4 ans et aujourd'hui je reste toujours ébahi dans cet écrin de nature presque vierge de toute activité touristique.
Tout au long du séjour, je reviendrai à Rum point pour pique-niquer avec les amis ou faire la fête en bateau au large de cette pointe du côté de Stingray city , le site favoris des nombreuses raies pastenagues .
Demain j'ai rendez-vous sur un autre site non loin de là, pour une plongée profonde sur un tombant dans un canyon.
Un lagon bleu, translucide, azur, un sable blanc lumineux et des petits filaos sur la plage afin d'obtenir du vert. Faut le voir pour le croire, tellement c'est beau, ce petit bout de Grand Cayman , cette presqu'île loin de la cohue touristique de George Town ou de Seven mille beach .
Un coin idéal pour passer une journée, pique-niquer entre la végétation, drinker sur le banc de sable où l'eau est peu profonde.
Journée cool, jusqu'au spectacle du sun set .... J'étais tombé amoureux de Rum point il y a 4 ans et aujourd'hui je reste toujours ébahi dans cet écrin de nature presque vierge de toute activité touristique.
Tout au long du séjour, je reviendrai à Rum point pour pique-niquer avec les amis ou faire la fête en bateau au large de cette pointe du côté de Stingray city , le site favoris des nombreuses raies pastenagues .
Demain j'ai rendez-vous sur un autre site non loin de là, pour une plongée profonde sur un tombant dans un canyon.
Leslie's curl est un site de plongée magnifique sur un tombant spectaculaire qui débouche sur un canyon dans les 35 mètres.
Une profusion de poissons parmi les immenses gorgones, des énormes éponges tubulaires et des coraux très colorés.
Les fonds marins sont ici tellement clairs que la mer se teinte d'émeraude, un vrai bonheur de plongée dans cette vaste étendue bleue.
Après une pause sur le bateau, ballotter par une forte houle , nous repartons avec un léger mal de mer explorer d'autres lieux aux couleurs teintées de jaune, nous sommes sur un tapis d'éponges-barriques sur le site de Lemon wom à l'ouest de la pointe de Rum point, pas très loin du banc de sable des stingrays.
Encore subjuguée des two tanks, la palanquée racontent les explo du jour à leur manière , le bateau de Divetech nous rapproche du littoral.
C'est la zone humide de Grand cayman avec une mangrove qui s'étend sur des terres marécageuses . C'est l'endroit idéal pour observer une multitude d'oiseaux avec une forte migration selon les saisons, plusieurs couples de pélicans ont élu domicile et partagent leur plan de vol avec quelques kites surf .
Aujourd'hui cette nature est préservée par la création d'un parc national et d'une aire marine protégée.
Balade sur la longue plage jusqu'à la pointe Bakers, le vent souffle, la mer se forme, au loin des cavaliers baignent leurs chevaux dans l'océan , une expérience que j'aurai souhaité vivre, mais je dois calmer la dépense des dollars! J'empreinte un chemin qui longe une mangrove, j'arrive à Bakers plein ouest de l'île . Seul entre mers et marécages , j'ai les yeux pleins de rêves des 15 jours passés , demain d'autre horizon , une autre île dans les caraïbes , bien différente , je pense ! ! ! ......
Cinq siècles ont modelé à la fois la géographie et les mentalités des habitants de Cuba et plus particulièrement la région de l'Oriente.
Après une longue nuit de bus depuis La Havane , nous sommes à l'extrême Est de Cuba à Santiago. Fatigué d'une nuit bien arrosée de rhum local ( Havana Club) mon acolyte Stefano & moi débutons le périple sous une forme de pèlerinage à la recherche de la patronne des patronnes de tous les Cubains, le sanctuaire de La Virgen de la caritad del cobre.
La basilique se trouve à une vingtaine de kilomètres de la ville dans les contreforts de la Sierra Maestra à proximité des anciennes mines de cuivre, construite en 1927 , elle se dresse sur la colline du village Del Cobre encadrée par la forêt.
C'est l'icône catholique la plus connue sur l'île, traditionnellement, des pèlerinages et des groupes religieux sont organisés. On y honore des divinités, leurs associant des miracles.
L'église reste bien préserver, mais la région à subit quelques dégâts lors du dernier cyclone en novembre.
Le soir, nous zigzaguons dans les ruelles de Santiago, bruyantes, sales et très polluées ! Vite, demain nous partons de l'autre côté des montagnes.
Une saignée de bitume perfore la montagne sur quarante kilomètres, on pénètre dans la Farola, seule route pour gagner la rive Atlantique et sa ville oubliée, mais très souhaitée, Baracoa.
Un cadeau des siècles, classé au patrimoine de l'humanité. Le climat est tropical avec une humidité plus importante que le reste de l'île.
Nous resterons quelques jours à sillonner la région, logés dans la casa particulare de Marilin au coeur de Baracoa .
La nature des environs est somptueuse, très verte et très montagneuse . Nous partons sous la pluie gravir les pentes du Yunque, c'est une montagne en forme d'enclume à l'ouest de la ville. Le trek démarre par le franchissement à gué de la rivière Rio Duaba, fort courant dû aux dernières précipitations, difficile de se tenir debout pieds nus sur les cailloux, heureusement notre guide porte nos sacs.
Le sentier boueux et abrupt traverse des plantations de cacao , nous dégustons les fèves de cacao au bon goût de chocolat .
Après 2 heures de marche nous arrivons au sommet , superbe panorama sur l'ensemble de la région, nous décrit le guide ! Nous sommes trempés et nous ne voyons pas à 50 mètres!
Le lendemain, le soleil est au rendez-vous pour la destination du PN Alejandro de Humboldt, certainement les plus beaux paysages de Cuba.
Balade en barque sur la Bahia de Taco, une baie quasiment fermée et entourée de mangrove.
Au fil de cette journée nous rencontrons les Cubains, une coco par-ci par-là, un cacao chaud , des fruits .... Nous participons à la fabrication des cuarucho, c'est de la noix de coco rappée sucrée avec de l'ananas, du pamplemousse, de la guanabana et du miel, servi en cornet .
Des rencontres formidables grâce à notre guide chauffeur.
Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons à la Playa Maguana pour un bain bien mérité et une rasade de mojito bien frais dans une gargote sur la plage.
Malheureusement , c'est sous une pluie torrentielle que je découvre la rivière Yumuri, je suis au coeur du territoire indien de l'île, chez les Taïnos , je suis avec mon guide, Stefano est resté au lit.
Sous le déluge je constate que le site est impraticable à la marche , quelques photos sous la pluie, c'est très bof! puis nous sommes contraints de nous abriter, c'était sans compter sur la gentillesse d'un charmant gaillard qui nous enjoint à le rejoindre sous sa maison . Les femmes nous offrent le traditionnel cacao chaud pour nous réchauffer, nous discutons du temps et de la vie à Cuba une bonne partie de la matinée ponctuée par des grands éclats de rire en regardant jouer les deux gamines de la maison .
Je reste sous le charme à cette rencontre merveilleuse, je laisse mon seul crayon bic aux fillettes et une poignée de bakchich pour l'hospitalité.
Amertume en quittant le village surtout après quelques kilomètres et une série de pannes plus loin!
Depuis quelques jours notre voiture jaune rendait des signes de fatigue, l'usure du temps passé, de bricole en bricole..... et c'est ainsi pour les véhicules à Cuba .
Première panne: la boîte de vitesse se bloque, mon chauffeur, guide et mécano à ses heures perdues, répare, et nous repartons toujours sous la pluie , puis ce sont nos essuies -glaces qui nous lâchent , quelques kilomètres plus loin, panne sèche , nous poussons l'auto dans les montés jusqu'au prochain village , toujours sous les orages je pousse la voiture , je repousse , rien à faire elle ne redémarre plus . Je suis trempé et commence à perdre patience . Après trente minutes nous repartons, traversant plusieurs villages et bientôt Baracoa, enfin presque, repanne de boîte de vitesse et carrément plus de pêche!!! j'arrive juste pour prendre le bus en direction de La Havane via Santiago .
"La vie te mène parfois à un carrefour qui sent l'aventure"
C'est une ville légendaire, colorée et chargée d'histoire . Nous retrouvons un vieil ami, Ramon, guide à La Havane, il est venu nous chercher au terminal de bus Viazul avec sa mini Fiat 126 version années 60.
Nous sommes dans le coeur historique de la capitale cubaine, 214 hectares de ruelles roides et étroites truffées de joyaux architecturaux, style baroque et néoclassique fatigué des blessures de l'âge.
La ville est classée par l'UNESCO pour son patrimoine.
Il faut s'enfoncer dans la Havana vieja par la cale Obispo pour apprécier ses commerces, ses pharmacies, ses hôtels d'un autre âge, nous trouvons refuge dans le patio de l'hôtel Florida, le temps d'apprécier un mojito . Plus tard, nous irons dans l'un des bars les plus touristiques de la capitale parce que l'écrivain Hemingway y avait à l'époque ses habitudes, nous y dégusterons le Havana club .
Quelques musées sur l'histoire de l'île et visite très intéressante à la Fabrica de Tabagos Partaga's sur les cigares .
Ce soir, je fête mon birthday dans l'une des boîtes branchées du Vedado, El Turquino située près du Malecon est doté d'une vue sublime sur La Havane au 25 ème étages de l'hôtel Havana libre. A minuit , le toit électrique s'ouvre au-dessus de la piste de danse offrant une vue sur le firmament, spectacle avec orchestre s'enchaîne , C'est la fête sur les toits de Cuba , mémorable .
Trinidad n'a pas d'équivalent à Cuba, sa beauté authentique l'a hissé au rang du patrimoine mondiale de l'humanité. Son architecture coloniale et sa musique font vibrer les pavés de ses rues au rythme de la salsa jusque tard dans la nuit.
En entrant dans cette ville on a l'impression de remonter dans le temps, j'ai débarqué du bus hier soir laissant derrière moi Stefano rejoindre Grand Cayman et ses activités professionnelle.
Mes yeux se sont d'abord promenés sur les façades des maisons habillées de couleurs saturées et percées de hautes fenêtres décorées de rejas, ces grilles en fer forgé. Sous mes pieds les pierres rondes et irrégulières caractéristiques de Trinidad rendre ma démarche chaotique et délicate, parfois je me perds en m'enfonçant dans ses ruelles . Le matin , le soleil inonde la plaza Mayor et illumine la façade de l'église de la Santisima Trinidad.
Mon envie de pousser toujours plus les portes de cette ville pour découvrir l'âme de Trinidad est vite récompensée , la musique s'élève d'une cour aux murs délabrés, ses sons Afro-Cubains sortent des instruments des musiciens, de la salsa semble vouloir réveiller la ville encore endormie . Alors je suis invité à un cours de danse, de rumba en cha cha cha , je vis et je vibre la vraie , l'authentique Cuba.
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